Le salon Geneva Time exhibition 2012, qui a ouvert ses portes dès le 15 janvier, est la première occassion de l’année, de connaître les tendances du marché horloger de luxe.
Ce que l’on peut d’ores et déjà affirmer, c’est que le secteur se porte bien. On pouvait compter, pas moins de 6000 visiteurs, en seulement 5 jours d’exhibitions. Les exposants sont très satisfaits de l’impact, et on pu constater que des pièces de haute horlogerie, ont déjà trouvé acquéreur.
En 2011, il s’est vendu plus de montres, que de bijoux...l’année 2012 devrait donc confirmer cette tendance.
Les visiteurs ont pu voir que si les marques bien installées, ont joué la carte de la prudence, en s’appuyant sur leurs valeurs sûres, afin d’assurer un bon niveau de vente, leur innovation pour chacune n’ayant consisté qu’à proposer un renouveau dans les mécanismes à remontage automatique, c’est plus du côté des horlogers indépendants qu’il aura fallu se tourner. Heureusement que ces créatifs sont présents sur le marché, pour le bousculer un peu. Ils ont réalisés de véritables prouesse s techniques et imaginés des nouvelles lectures du temps. Ainsi, on a pu voir des choses délirantes, comme l’Opus Eleven crée par Denis Giguet dans laquelle l’heure éclate en particules à l’heure juste, et se recombine pour former la suivante.
Comme avec la Variocurve, une montre dont l'affichage rétrograde exploite un original système d'embiellage.
Nous avons pu découvrir aussi, la de Bethune DB28 limited edition, qui révéle la recherche menée par la maison sur les oscillateurs et le dessin des mouvements.
À noter : La maison a reçu le prix de "l'aiguille d'or", la récompense suprême, à l'occasion du salon, pour récompenser son travail.
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